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quand HODBERT n'avait pas encore son prénom célèbre

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Message  tonton mayonnaise Mer 25 Nov - 23:21

peu le connaissent sous son vrai nom. Normal, c'est que ce monsieur a un "prénom".

quand HODBERT n'avait pas encore son prénom célèbre Yannic10


Dessinateur de Malabar avec Motti, il fait maintenant des "plans de caarières"
mais surtout ce cher YANNICK a créé le renouveau de la superstar née de l'imagination d'ARNAL: Hercule
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Message  tonton mayonnaise Jeu 26 Nov - 20:16

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Message  tonton mayonnaise Jeu 26 Nov - 20:23

un article intéressant des nouvelles calédoniennes du 01.06.2006 :

Yannick Hodbert : « La condition des dessinateurs est devenue précaire »

Tombé dans la BD, il y a trente-sept ans, Yannick Hodbert a gardé sa fraîcheur des années Pif Gadget. Ce qui ne l’empêche pas de porter un regard un peu sombre sur le quotidien des dessinateurs en France.
Les Nouvelles Calédoniennes : Pour les gens qui ne vous connaissent pas, doit-on vous présenter uniquement comme le père d’Hercule ? Yannick Hodbert : Avant de faire de la BD, j’ai commencé comme photographe de cinéma. J’ai réalisé notamment la promotion de films comme « Un homme et une femme » ou « Help ! », le premier long-métrage des Beatles. J’ai fait ce métier jusqu’en 1969, l’année où je suis entré à Pif gadget. Le journal venait d’être lancé et on me demandait d’en réaliser les dessins et les scénarios. Ce n’est qu’en 1976 que j’ai réalisé la série « Hercule ». Le personnage existait déjà. C.Arnal l’avait créé en 1950. Mais il n’était que le faire-valoir de Pif. Je l’ai donc sorti de ce duo pour en faire un héros à part entière. Pour ça, il m’a fallu imaginer quel genre de copain j’aurais aimé avoir toujours avec moi si j’avais été un gosse de 12 ans. Cette aventure a duré jusqu’en 1994. Jamais je ne me suis lassé de faire ça.
LNC : En tant que « vétéran » des dessinateurs, comment voyez-vous l’évolution de ce métier ? Y.H. : Il a évolué dans le bon sens pour ce qui est de la qualité. Mais pas pour ce qui est des conditions de travail. On n’en parle pas souvent mais elles deviennent de plus en plus précaires. Il n’y a plus de supports papier. Les journaux disparaissent. Mickey, par exemple, ne fait plus que des reprises à part une création, peut-être, dans l’année. Le jeune qui veut se lancer aujourd’hui est obligé de démarcher auprès des éditeurs, comme le fait un écrivain. Même si un album marche, il n’est pas sûr d’en faire un autre derrière. Il n’a, pour ainsi dire, pas de couverture sociale. A mon époque, nous étions considérés comme des journalistes. Il y avait une déontologie, une convention pour régir notre profession. Je dois être l’un des seuls aujourd’hui à avoir encore une carte de presse. Du coup, la BD est devenue une profession de gens inquiets. Les éditeurs sont très ciblés sur un type de publication. On te demande soit de faire du manga, soit de l’heroic fantasy. Avant, au contraire, il ne fallait surtout pas faire ce que faisait le voisin.
LNC : Ce n’est donc pas un hasard si vous avez appelé votre dernière BD « Plans de carrière »... Y.H. : Ce projet date d’un an mais c’est vrai que le concept colle pile poil avec l’actualité, comme le CPE par exemple. Elle parle des ados et de leurs inquiétudes face à leur avenir. On y voit deux garçons et deux filles qui se projettent dans un métier par rapport à ce qu’ils ont pu voir à la télé. C’est à la fois extravagant et satirique. Il y en a un, par exemple, qui s’imagine artiste peintre. Pour lui, c’est un métier où l’on gagne beaucoup d’argent en travaillant peu. Pendant le voyage pour venir à Nouméa, il y a également une hôtesse qui est venue vers moi pour me demander si je n’avais pas fait son métier dans une autre vie, tellement les rêves du personnage collaient à la réalité. Ça, je le dois à Erroc. C’est lui qui a fait le scénario. C’est un scénariste fabuleux qui a fait notamment cette très bonne BD intitulée « Profs ».



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Message  Placid Dim 29 Nov - 21:13

Nous n’avons pas des métiers faciles… Neutral
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